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Le wokisme pour une société déchristianisée

Le wokisme est l’une des branches du Great reset, de la mise en place du Nouvel ordre mondial. Le mot « woke » signifie « réveillé » et a été adopté par les adeptes d’un progressisme qui se dit défenseur des minorités opprimées… Nous voyons comment, à une vitesse phénoménale, les mœurs de la société évoluent sous les coups de boutoir de cette propagande progressiste délirante et satanique. La première brèche dans le barrage christianisé remonte à mai 68, avec la libéralisation des mœurs. Ce qui était à cette époque une folie pour bon nombre de français est désormais devenue la norme.


Aujourd’hui, le wokisme est outrancier et se répand notamment sur les réseaux sociaux, ciblant principalement les jeunes, qui sont, durant l’adolescence, en pleine recherche de repères (dans une société où il en existe de moins en moins). Par le biais d’influenceurs qui acceptent volontiers de faire la promotion de cette idéologie, en échange de quelques billets et d’une large audience, les messages de dépravation et d’abomination se répandent sur les réseaux sociaux. Soucieux de ressembler à leurs idoles et d’adhérer au groupe social que constituent les autres personnes de leur âge, les jeunes et les adolescents adoptent les comportements et la mentalité diabolique du wokisme.


Lorsque l’on parle de wokisme, cela regroupe tous les sujets de société et de mœurs tels que l’homosexualité, le véganisme, le féminisme ou encore l’écologie extrême. Tous ces sujets sont savamment orientés pour donner l’impression aux jeunes qu’ils se battent pour la vérité, pour plus de liberté et de « respect » , et pour l’avenir de leur planète.


En réalité, les mondialistes promeuvent le wokisme car il permet de transformer en profondeur les us et coutumes de la société occidentale déchristianisée. Car oui, le wokisme est dirigé contre ce que l’on peut appeler le monde occidental, c’est-à-dire l’ensemble des pays riches et modernes, souvent européens ou d’origine européenne. Le reste du monde est beaucoup moins perméable à cette idéologie.


En effet, la présence et l’importance de religions régissant la vie quotidienne (Islam, Hindouisme…) donnent déjà un cadre de vie aux populations de nombreux pays. L’idéologie woke est donc en porte-à-faux total avec les croyances et les coutumes de ces religions. Ainsi, par exemple, l’homosexualité est un crime dans beaucoup de pays.


Ces pays sont souvent moins riches, en « développement », pour utiliser le vocabulaire progressiste. Ces sociétés sont donc davantage ancrées dans des modes de vie ancestraux, laissant peu de place aux nouveautés (même si des éléments de modernité se répandent partout, à l’image des smartphones, par exemple).


Pour comprendre pourquoi le monde occidental est davantage touché par ce progressisme outrancier, il faut donc chercher du côté de la déchristianisation massive, depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale. L’espérance en Dieu a nettement reculé, laissant un vide dans le cœur de nombreux occidentaux. Or, l’adage dit que « la nature a horreur du vide », c’est pourquoi, ce vide est comblé par une foi dans l’homme et la technique, le progrès…

« La religion nous a enfermés dans des carcans conservateurs, libérons-nous de nos chaînes et soyons nous-mêmes nos propres dieux », disent-ils.


En rejetant les bras ouverts de Dieu, ils s’engouffrent corps et âmes dans les bras de Satan. Pensant trouver la liberté, libérés du joug pourtant « doux et léger » de Dieu, ils sont alors enchaînés aux puissances des ténèbres.


Regardons maintenant l’un des éléments importants résultant de cette idéologie woke : l’infertilité.

Nous ne parlerons pas ici de l’infertilité croissante liée à la contamination de l’eau et des aliments, voire de l’air ou autres (injections ?), mais bien des choix délibérés des individus embrigadés dans l’idéologie woke.


En effet, un argument revient de plus en plus dans la propagande progressiste : nous sommes trop nombreux sur terre, nous consommons donc trop de ressources naturelles, ce qui alimente une surconsommation déjà excessive… Notre planète est au plus mal donc, le geste citoyen, pour apporter sa pierre à l’édifice de l’écologie, est de ne plus faire d’enfants.

Ainsi, les individus occidentaux ont de moins en moins d’enfants par famille, ont des enfants de plus en plus tard, quand certains refusent tout simplement d’en avoir (parfois pour d’autres raisons d’ailleurs, comme la carrière professionnelle…). Les recours à des opérations chirurgicales pour les hommes sont de moins en moins taboues et se répandent. En Nouvelle Zélande, 44% des hommes de plus de 40 ans ont eu recours à la vasectomie, souvent dans l’idée de prendre sa part de « charge mentale » dans le couple, au niveau de la contraception. Cela concernerait un homme sur trois au Québec…

Ajoutons à cela l’impact de l’homosexualité, largement répandue en Occident, qui affecte également la natalité.


Tout ceci va, bien sûr, à l’encontre même de la volonté de Dieu. Le premier commandement donné à l’homme était d’ailleurs :

« Soyez féconds, multipliez, remplissez la terre ! » (Genèse 1 v 28)


L’idéologie progressiste se dresse ainsi à nouveau en opposition à Dieu et à ses commandements. Dans la volonté d’imposer le Nouvel ordre mondial, la baisse du taux de fertilité dans les pays occidentaux permet de changer durablement et profondément les mœurs, dans l’idée d’aller vers le transhumanisme et ses corollaires. En effet, il faut créer « l’homo deus », l’homme-dieu, une nouvelle race humaine améliorée grâce à la technologie. L’idéal serait donc de faire rentrer de plus en plus le « progrès » dans le processus de la natalité. Ces manipulations posent également des questions éthiques, notamment concernant la modification du génome ou encore la possibilité de moduler son futur enfant sur catalogue, selon nos désirs…


Aldous Huxley, dans son roman « Le meilleur des mondes », imaginait un monde ultra-catégorisé entre plusieurs classes sociales, où la naissance des enfants se fait uniquement en laboratoire et où les parents n’existent plus, même dans la conception des enfants (uniquement en laboratoire). Il est important de noter qu’Huxley ne critiquait pas ce modèle de société qu’il admirait vraisemblablement, lui, l’initié maçon et eugéniste convaincu. La famille Huxley était d’ailleurs célèbre pour son attrait envers cet eugénisme et le transhumanisme, dont l’origine étymologique serait à mettre au crédit du frère d’Aldous, Julian.


Le vieux rêve de nos élites mondialistes de trouver l’immortalité ne concerne que cette petite frange de la population. Le reste de l’humanité est destiné à s’éteindre par lui-même, pollué par des théories progressistes directement distillées par des fondations liées aux grands mondialistes.


Ainsi, Satan œuvre pour détruire la création divine et déboussoler l’homme en lui ôtant tous ses repères. Il cherche à entraîner un maximum de personnes dans sa chute. Et l’Occident est particulièrement visé, lui qui a rejeté Dieu pour se tourner vers le progrès.

Nous pensons surtout à la jeunesse, confrontée jour après jour à ces théories délirantes mais malheureusement, de plus en plus acceptées.


« Voici, des fils sont un héritage de l'Eternel, Le fruit des entrailles est une récompense. » (Psaume 127 v 3).


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